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Lancement de l’initiative appelée les “Ateliers Techniques de LEAD” – ATL. Dr Ibrahima Sylla, Directeur du Programme LEAD Afrique Francophone, répond aux questions journalistes.
LEAD Afrique Francophone (LAF) est une organisation membre des réseaux LEAD International et Enda Tiers-Monde. Depuis sa création en 2000, LAF s’est spécialisée dans le renforcement des capacités en leadership pour l’environnement et le développement durable sur la base d’une hypothèse forte : le futur de l’Afrique réside dans ses ressources humaines. Celles-ci constituent en effet un élément essentiel pour l’accomplissement des missions des organisations et institutions en vue d’un développement durable du continent. Jusqu’en 2012, le public cible des formations de LAF était constitué par les jeunes en milieu de carrière et répondant à un certain nombre de critères « élitistes ». En lançant, en 2013, son projet intitulé « Les Ateliers Techniques de LEAD », LAF rend ses formations accessibles à des cibles beaucoup plus diversifiées.
Source : RDV, le 5 février 2013.
Conférence de Carlos Pérez del Castillo : La recherche au service de la lutte contre la faim
Carlos Pérez del Castillo, président du Conseil d’administration du Consortium des Centres du Groupe consultatif pour la recherche agricole internationale (CGIAR), parle de l’importance d’un renouvellement de l’engagement du Canada à soutenir la recherche en agriculture.
L’insécurité alimentaire touche, estime-t-on, un milliard de personnes dans le monde. Pour satisfaire aux besoins de la population mondiale, il faudra que la production vivrière double d’ici 2030. Or, la demande d’aliments n’est pas la seule variable de l’équation qui soit en hausse : les problèmes causés par la dégradation de l’environnement, la diminution des ressources hydriques et la rareté des terres fertiles ne cessent eux aussi de s’aggraver. S’attaquer à ce problème : voilà le défi que s’est donné le CGIAR il y plus de 40 ans, grâce au soutien du CRDI et de l’Agence canadienne de développement international (ACDI). Depuis, il a mis à la disposition de millions de personnes des connaissances et des innovations, dont des moyens de lutter contre la cochenille du manioc, lesquels ont permis de sauver quelque 20 millions de vies, et des pratiques d’agroforesterie à faible coût pour l’Afrique, qui ont permis de rendre productives des terres infertiles et d’ainsi augmenter les rendements et le revenu de petits exploitants agricoles. L’on doit aussi aux centres du CGIAR et à leurs partenaires de recherche nationaux certaines des avancées scientifiques qui ont donné lieu à la révolution verte en Inde, au Pakistan et dans d’autres pays d’Asie qui, dans les années 1960 et 1970, frôlaient la famine.
M. Pérez del Castillo, qui travaille aujourd’hui comme consultant indépendant, a présidé à compter de 2005 le groupe spécial de l’OMC chargé d’examiner le différend commercial au sujet des aéronefs civils gros porteurs qui opposait les États-Unis et la Communauté européenne (Boeing-Airbus) et a participé à l’évaluation externe indépendante de la gouvernance du Fonds pour l’environnement mondial, entre autres choses. Il a également été conseiller spécial pour les négociations commerciales internationales du président de la République de l’Uruguay, président du Conseil général de l’OMC, vice ministre des Relations extérieures et ministre des Relations extérieures par intérim de l’Uruguay et secrétaire permanent du Système économique latino-américain. Lui-même un petit éleveur, il siège au conseil d’administration de l’International Food & Agricultural Trade Policy Council. Carlos Pérez del Castillo a reçu les plus grands honneurs des gouvernements du Brésil, du Chili, de la France et du Venezuela.
Source : CRDI, le 15 mars 2012.
“Ni dieu ni maître : les réseaux”
Conférence de Manuel Castells diffusée en direct sur Internet (28/06/2011)
Cette conférence aura lieu à la Maison de l’Amérique Latine à Paris, mais la salle prévue ne pourra accueillir toutes les personnes intéressées. La Fondation Maison des Sciences de l’Homme a donc mis en place une retransmission en direct sur Internet à l’adresse suivante : http://www.livestream.com/fmsh. La conférence sera également enregistrée et disponible ensuite sur le site des Archives audivisuelles de la recherche.
Cette grande conférence est la première manifestation publique de la Chaire “Communication et Internet” de Manuel Castells au sein du nouveau Collège International d’Études Globales que développe la Fondation Maison des Sciences de l’Homme, et dont Michel Wieviorka dévoilera les contours à cette occasion.
La conférence sera introduite par Alain Touraine, sociologue et directeur d’études à l’EHESS.
Manuel Castells est actuellement professeur à l’Annenberg School of Communication (University of Southern California) et dirige l’Internet Interdisciplinary Institute de Barcelone, université virtuelle mondiale. Après des études en France, Manuel Castells devient directeur d’études associé en sociologie à l’EHESS, puis est nommé professeur de sociologie et de planification urbaine et régionale à l’Université de Berkeley en Californie. Il a été professeur invité dans dix-sept universités internationales et a reçu des doctorats d’honneur de quinze universités en Europe, Amérique latine, Amérique du Nord et Asie. Ses œuvres ont été primées à de nombreuses reprises et traduites en plus d’une vingtaine de langues.
Avec sa trilogie consacrée à L’ère de l’information (Fayard, 1996-1998), Manuel Castells devient le spécialiste internationalement reconnu de la société de l’information et des réseaux. Sa démarche est transdisciplinaire et allie analyse de l’espace et des mouvements et étude du rôle des technologies de l’information dans la production des sociétés contemporaines.
Récemment, Manuel Castells a publié Communication Power (Oxford University Press, 2009), dont la traduction française est annoncée aux Éditions de la FMSH. Il se base sur son analyse des réseaux et des technologies de communication pour développer une nouvelle théorie du pouvoir à l’ère de l’information. Un nouveau système de communication a émergé : une auto-communication de masse à travers les sites de réseaux sociaux, les blogs… Ce nouvel environnement communicationnel modifie profondément les relations de pouvoir.
À travers plusieurs analyses de cas, dont les récents événements du “printemps arabe” et le mouvement des “Indignados”, M. Castells montrera dans sa conférence les conséquences de cette évolution sur les processus politiques et les mouvements sociaux.
Source : AAR
“Une introduction aux bonnes pratiques en matière de SIG-P”
Ce documentaire de 25 minutes est une vidéo éducative qui présente la pratique des systèmes participatifs de communication et de gestion de l’information géographique (aussi appelés SIGP) dans le contexte du développement. Il s’adresse aux praticiens du développement (notamment les intermédiaires en technologie) et leur explique comment mettre en œuvre un SIGP piloté par la demande.
Dans cette vidéo, la pratique du SIGP est présentée comme un cycle continu qui débute avec la mobilisation de la communauté dans le cadre de la planification et la conception du projet, le choix des méthodes et technologies cartographiques, puis la visualisation des différentes technologies dans divers contextes ethnoculturels et agro-écologiques pour finalement exploiter les cartes dans les domaines de la construction de l’identité, de l’autodétermination, de la planification spatiale et du plaidoyer.
Des attitudes et des comportements sains et respectueux de l’éthique sont mis en exergue comme des impératifs essentiels à toutes les étapes du processus.
Source : CTA
“Prés de nos ancêtres. Cartographie participative au Gabon”
En 2002, Son Excellence, El Hadj Omar Bongo Ondimba, président de la République du Gabon, a crée avec un décret treize parcs nationaux. Les parcs ont été conçus pour représenter différents biomes et les enclaves importantes de la biodiversité dans ce pays du Bassin du Congo.
Cette vidéo, réalisée en 2010, raconte l’expérience des villageois Babongo et Mitsogho qui ont construit une maquette en trois dimensions de leur territoire qui comprend le parc national de Waka dans le massif du Chaillu, la Province de Ngounié. Waka est censé avoir la plus forte densité des primats de la Terre entière, dans une foret Équatoriale montagneuse menace par des concessions forestières. Ce territoire, principalement dans la commune d’Ikobey, abrite également la communauté Babongo, un peuple «Pygmées» de chasseurs-cueilleurs autochtones et leurs voisins, les Mitsogho, un peuple chasseurs-agricoles.
La cartographie participative en 3 dimensions donnait une occasion pour les peuples autochtones et locales a s’engager avec le gouvernement au sujet de leurs droits, la bonne gouvernance et la prise de décision par rapport a l’aire protégée, en utilisant leurs propres langues et la connaissance intime du milieu culturel et naturel. Avec l’appui des ONG nationales et internationales et les organisations des peuples autochtones a travers le bassin du Congo, les villageois Babongo et les Mitsogho ont pu utiliser la carte comme une plate-forme pour parler aux autorités locales et provinciales au sujet de leurs préoccupations et de présenter une vision de la participation et la gouvernance démocratique. La vidéo est un témoignage au défi de la conservation de la biodiversité et le maintien de la diversité culturelle locale, protégées gouvernance zones et les moyens de subsistance. Le projet a été soutenu par MINAPYGA, Brainforest Gabon, Rainforest Royaume-Uni, le CTA et IPACC avec la coopération de la Wildlife Conservation Society (Gabon) et l’Agence nationale des Parcs Nationaux de la République du Gabon.
- Plus d’informations sur cette étude de cas se trouve a la page http://tinyurl.com/3ptxhyn
- Plus d’informations sur la méthodologie P3DM se trouve a la page http://tinyurl.com/3txe4hv
“Accaparement des terres au Sénégal”
“L’approche EcoSanté”_avec Ibrahima Sylla sur Canal Info News (part. 1 et 2)
Malgré l’évidence des relations qui existent entre l’environnement et la santé, les problèmes qu’ils soulèvent sont généralement abordés de façon isolée. L’objet de l’approche écosystémique de la santé humaine – ÉcoSanté – est de les « réconcilier ».
La démarche ÉcoSanté est anthropocentrique, c’est-à-dire qu’elle place l’être humain au centre des préoccupations : l’aménagement de l’écosystème est centré sur la recherche d’un équilibre avantageux pour la santé et le bien-être des personnes et non pas uniquement sur la protection de l’environnement. Son objectif n’est pas de préserver l’environnement comme il était avant l’arrivée de communautés humaines. La présence des humains crée une nouvelle dynamique où les aspirations sociales et économiques des gens doivent être considérées, d’autant plus qu’ils ont le pouvoir de contrôler, de développer et d’utiliser de manière durable ou même d’abuser de leur environnement. Cela constitue certainement un aspect original de cette approche. L’autre élément d’originalité est la mise en place d’une démarche de recherche – avec des acteurs qui ne sont pas uniquement des scientifiques – afin de générer un savoir pouvant s’intégrer dans la vie des gens. L’efficacité et la durabilité de ces interventions sont au cœur des préoccupations.
Source : Lead Africa
“Faire revivre notre culture: dessiner notre future”
Source : CTA
“Zambie, à qui profite le cuivre ?”
Source : VIMEO
Je suis très marqué par les activités de mon d’oc eur